jeudi 23 avril 2020

Ne jamais dire:" Demain"...
Ne jamais dire: "Demain"...

dimanche 5 avril 2020

Pendant ce "temps Corona", je réfléchis un peu à des personnes que j'ai connues dans cette vie, à des gens qui ont déserté la surface de la Terre et qui ont sombré dans l'oubli...
C'est comme s'ils n'avaient jamais existé...
C'est étrange, ce que les gens oublient vite, ces jours-ci.
Quand une nouvelle éclate pour la première fois, c'est un scandale; c'est inouï.
Après un certain temps, la nouvelle meurt et tombe dans l'oubli.
Elle meurt, oui, apparemment, sauf dans le coeur de celui ou de celle qu'elle touche vraiment.
Trop de choses arrivent, chaque jour, de par ce monde, des choses bizarres, saugrenues, immondes.
Qu'on a de la peine à accepter, au premier abord
Dont l'apparition suscite en nous un certain effort
Mais, tôt ou tard, il faut s'adapter, il faut se faire à ce rythme timbré
Que la vie a des fois
Des hauts, des bats,
On dirait un cardiographe éreinté
Qui monte et descend
Sans s'arrêter
Et qui respire un peu, à chaque traversée
Monte et descend, sans s'arrêter
Par monts et par vaux,
Court par-ci, ralentit par là
S'émerveille ici, soupire là-bas
Souffre là
S'amuse ailleurs
S'enfuit parfois
Et parfois demeure
Blasphème ici
Se repentit et pleure
Aux genoux de celui qui nous attend à chaque heure
Nous offre son pardon
Et promet un bonheur
Qui n'est que l'échantillon
De ce qu'on a dans nos coeurs


vendredi 25 octobre 2019

Ce feuilleton me ramène vers mes années d’enfance ; du temps où j’étais moi-même enfant, et que j’attendais impatiemment de voir les « bêtises » de Samer.
Même aujourd’hui, lorsque l’occasion se présente, je le regarde inlassablement ; et je ressens une sorte de jouissance et de nostalgie magique ; nostalgie vers ses années où je grandissais, inconsciemment et sans me soucier du lendemain ;
Mon père était absent, souvent et je vivais dans son attente ; quand il venait, j’accourais vers lui, non pas pour recevoir ses cadeaux, comme il le croyait, mais, pour retrouver, sa tendresse démesurée ; tendresse demesurée, affection illimitée ; tel était mon père ; une fontaine intarissable d’affection… Aujourd’hui, il n’est plus et mon attente est vaine… Jamais il ne reviendra, chargé d’amour et de cadeaux. Jamais il ne reviendra combler mes jours d’attente. Je veux tellement lui dire qu’il peut venir les mains vides et je l’accueillerai avec la même vivacité, comme auparavant, je m’assoirai sur son giron, oubliant les jeux, les présents et tous les divertissements possibles, car rien n’égale, pour moi, sa douce présence, inestimable…


vendredi 31 mai 2019

C'était une petite fille sans histoires et très sage...

lundi 27 mai 2019

Sekabestro...