Tu sais que mon coeur n'est plus mien quand je te vois
Il saute en moi
Comme un petit enfant
Et tu sais comment sont les enfants!
On ne peut pas les faire taire facilement,
Surtout quand ils ont envie d'une chose
Ou quand ils sont contents
Il saute en moi
Même mon sang n est plus mien
Ce sang chaud qui tourbillonne
Ce sang chaud qui tourbillonne, c est comme s il t appartient
Je ne parle pas trop, tu le vois
Je suis troublée par ce qui se fait en moi
Et quand tu me serres contre toi, ce petit coeur devient fou
Contre tes battements à toi, il se trouve un allié et m oublie, moi
Je sens ton coeur battre contre le mien
Il parait qu'ils connaissent le meme refrain
Et d'une chanson éfrénée ils chantent des rythmes saccadés...

Combien de filles tu as laissées,
Malheureuses, délaissées
Aux portes de la vie,
Pensant à toi
À tes étreintes folles
À tes gestes, à tes paroles,
Au désir qui te secouait
À la passion dont tu raffoles
Et tu jouis de t'en rappeler
Et tu penses à tes succès
Tu oublies leurs noms, leurs visages
Comme un criminel après le carnage
Tu ne veux que leurs corps, quel qu'il soit, où qu'il soit…
Le reste importe peu, tu oublies vite,
Tu oublies, toi tu peux, mais elles restent meurtries, même leur passion reste inassouvie,
Elles ne peuvent vite être guéries de ton spectre maudit qu'elles exècrent mais qui, au fond, continue à leur faire envie...

Wondassista: je ne sais même pas d'où c'est venu,
Je ne sais même pas ce que ça veut dire
Tout ce que je sais c'est que dès que j'ai pensé à écrire, je n'ai même pas hésité
J'ai tout de suite choisi ce pseudo; je l'avais déjà en tête; je savais qu'il me rappelait quelque chose mais quoi…
Et vous? Ça vous rappelle quelque chose?
Vous qui commencez à connaître Wondassista, aidez-moi à donner un sens à ce nom. Allez, triturez vos méninges :)

Ses yeux, ses yeux si purs, si limpides
Ses yeux si tranquils, si innocents
Ses yeux
Mélange impur que ses yeux dans son âme
Une âme corrompue, vicieuse, maléfique
Corrompue par la société
Corrompue par la réalité
Réalité qu'il a vécue, qu'il a souffert
Réalité qu'il n'a pas choisie comme un cadeau offert
Qu'on ne peut refuser,
Qui cause notre misère
Ses yeux parlent,
Demandent à être sauvés
D'un sort inevitable
Si seulement je pouvais les arracher à ton âme
Les sauver de ce monde infâme
Les garder près de moi loin de toi
Ton âme a besoin de cette separation
Pour comprendre quelle devotion
Ont tes yeux, quelle religion
Sauve tes yeux, tu en as besoin
Écoute leur psaume silencieux au rythme de la musique du bon Dieu
Oublie tout et obéis comme un automate
À cette hymne diplomate
Tu seras libre, crois-moi
Tu seras libre tu seras toi…

Je prends une petite pause...

Tu es venu déranger mes papiers
Répandre mes feuilles
Les disperser
Fouiller dans les registres du passé
Raviver des souvenirs…
Tu as tout ébranlé
Remis en question,
Chamboulé.
Je reste au milieu de tout ça, bafouée,
Ne sachant que faire, médusée.
Mais tu as déjà le dos tourné
Que dois-je faire de tout ce passé?
C'est la boîte de Pandore qu'on ne peut refermer.
Je gis au milieu, il faut assumer.
Tout ça c'est moi, il faut l'avouer.
Tout ça s'est passé, je n'ai rien à regretter…

Bonne annee a vous tous chers blogueurs :)