jeudi 7 octobre 2010

Rien ne peut capter la richesse de ces beautés,
Aucun mot ne daigne les décrire,
Pas un poète n'ose les chanter
Ni Esméralda danser aux rythmes d'une lyre.
On pourrait passer des heures sans même le sentir,
On pourrait même dormir éveillé.
Qu'importe l'avenir, les oiseaux éternels chantent sans repentir
On pourrait se perdre, on pourrait s'oublier, perdre les heures sans trop y penser,
Chercher éperdument,
Essayer d'attraper le souffle du soleil, la brise, la rosée.
C'est dans ce cadre qu'on se plaît à écrire, que coulent les pensées.
Entre une orchidée et une tulipe vagabondent des idées, fleurissent des souvenirs,
Se heurtent des sujets…
On aimerait tant ne pas partir, nos jambes fléchissent à chaque enjambée,
Mais bien-sûr, ca doit finir, on doit toujours rentrer, là où on n'est pas toujours satisfait, en attendant le plaisir de changer…

1 commentaire:

Cergie a dit…

Parfois il faut juste se taire et profiter... Dommage qu'on ne puisse vivre certains moments deux fois mais on peut toutefois revisiter les souvenirs comme on regarde une photo ou un film.