mardi 29 juillet 2014

Quand je suis dans tes bras, je veux que se prolongent ces moments pleins d’émois, de tendresse, de douceur.
Je prie, dans mon coeur pour,  le plus longtemps te conserver et savourer ces moments au gout tellement sucré.
Toi aussi, tu ne veux pas partir, mais on est obligésd’interrompre cette rencontre où le mal expire et nos coeurs battent à tout romper.
Quand je suis loin de toi, chez moi, je songe à ces mêmes  instants…
J’essaie de les revivre avec leurs caresses douces et pulpeuses, comble de tendresse et de joie fougueuse. Mais je n’arrive pas du tout à bien les reconstituer  avec la même intensité, la même force, la même passion.
Même si j’essaie tellement de retrouver le cadre; plus rien n’est pareil, rien n'est semblable; rien ne peut égaler ou même de loin ressembler à l’amour magique que tu ne cesses de me prodiguer…

1 commentaire:

Cergie a dit…

Ce qui rend ces instants si uniques c'est qu'ils sont éphémères. Le souvenir t'en reste cependant le reste de l'histoire est encore à écrire...