jeudi 23 avril 2009


Je déteste quand tu me regardes de ces yeux-là.
Je déteste quand tu me manques et que tu n’es plus là.
Je déteste quand j’attends un mot et que tu ne le dis pas.
Je déteste quand je veux que tu comprennes mais tu ne comprends pas.
Je déteste quand tu prends mon amour pour un acquis et que de mes sentiments tu fais fi.
Je déteste quand tu vois tout le monde et que tu oublies de me voir.
Je déteste quand tu sais que je t’aime, mais tu cherches l’amour autre part.
Je déteste quand je sais que tu m’aimes, au fond, tout au fond, quelque part.


Mais, ce que je déteste le plus en toi, c’est que je ne te déteste point, ni un peu, ni un tout petit peu, mais que je t’aime au plus haut point.


Inspiré du film 10 things I hate about you

jeudi 9 avril 2009

Prier à deux:

J’ai une amieGras française qui passé un séjour au Liban. Et voilà qu’une amie à elle vient pour passer la semaine sainte ici.
Nous nous mettons d’accord pour faire le tour des 7 églises et assister à la messe ensemble. Et voilà que mon amie me dit : « Ecoute, mon amie est encore plus croyante que moi, alors si tu te mets à côté d’elle et que tu lui traduis un peu la messe, ça lui fera vraiment plaisir. »
Evidemment, je saute sur l’occasion et je savoure le plaisir de « prier à deux » et de partager l’amour du Seigneur. Ce lien qui nous a liés cette « étrangère » et moi est devenu bien rigide de par cette foi commune…
J’ai vu cela comme un appel du Seigneur auquel j’ai répondu, en même temps qu’une bénédiction. Les mots me venaient tout de suite à la tête …
Même si parfois, je n’ai pas le cœur pour prier car je n’aime prier que lorsque je suis corps et âme avec le Seigneur, lorsque je prie vraiment, je me sens assez « forte et protégée »
Bénis sois celui qui pour nous a offert sa vie…

jeudi 2 avril 2009

Tu me manques
Je ne peux plus me dérober à cette idée
J’ai fui partout
Dans les forêts, les vallées
Au creux même de la Méditerranée
Ton spectre m’a poursuivie sans arrêt


Tu me manques
Il ne peut cesser
De battre dedans
Pour respirer
Un air que ton haleine a inspiré

Tu me manques,
Je ne peux plus le nier
Rassure-toi, tiens, je l’ai dit
Avoue que tu le savais…